Le master en gestion des industries culturelles est un projet commun aux universités Gaston Berger de Saint-Louis (Sénégal) et Senghor d’Alexandrie (Egypte). Peut faire acte de candidature tout étudiant ou professionnel titulaire d’une Licence. Ce Master s’appuiera sur une expertise avérée de formateurs provenant du monde francophone.
Ce master ouvre de réelles perspectives d’entreprises et d’emplois en formant dans les métiers touchant aux domaines des arts et de la culture tels que ceux de manager des entreprises culturelles et artistiques, de financeur du secteur de la culture, gestionnaire de projet culturel, conseiller artistique, médiateur culturel, promoteur de spectacles, producteur, éditeur, etc.
L’Université Gaston Berger de Saint-Louis travaille en partenariat avec l’Université Senghor d’Alexandrie pour l’implantation d’un Master en Gestion des Industries Culturelles avec un volet formation initiale et un volet formation continue destiné aux professionnels. Le master en « Gestion des Industries Culturelles » s’oriente vers la gestion des industries culturelles issues de la créativité artistique provenant des principaux pays producteurs mais aussi des productions nationales. Les jeunes entrepreneurs des industries culturelles peuvent acquérir une formation de haut niveau combinant l’enseignement des disciplines fondamentales et l’efficacité professionnelle.
Les lignes directrices du master « Gestion des Industries Culturelles » (GIC) sont :
L’objectif du master est principalement d’offrir aux étudiants une formation professionnalisante dans le domaine des industries culturelles. De manière spécifique, il s’agit pour l’étudiant de :
Les compétences attendues sont :
La formation est découpée en quatre (4) semestres
Unités d’enseignement :
Le processus de formation comporte :
Pour réussir le Master en Développement, il faut obtenir 120 crédits. Chaque unité d’enseignement est évaluée de manière individuelle et notée de 0 à 20. Les notes sont remises par les enseignants au coordonnateur pédagogique.
Pour tout module d’une unité d’enseignement, la note inférieure à 10/20 donne lieu à une évaluation obligatoire de rattrapage. L’étudiant garde la note la plus élevée qui se limite en toute hypothèse à 10/20.
En règle générale, les notes se compensent à l’intérieur d’une Unité d’Enseignement. Cependant, il n’y a pas de compensation entre les UE d’un même semestre. Une Unité d’Enseignement est considérée acquise et réussie si la moyenne des notes obtenues dans les différents enseignements de l’Unité (modules) est supérieure ou égale à 10/20. Un jury se réunit à la fin de chaque semestre pour valider les acquis, pour autoriser le passage au semestre suivant ou pour décider de l’exclusion du programme de Master. Le départ en stage est conditionné par la réussite du troisième semestre et la validation des Unités d’Enseignement du premier semestre.
La note minimale pour la validation du mémoire du Master qui est soutenu à la fin du 2ème semestre, est de 12/20. L’étudiant qui a obtenu une note inférieure à 12/20 est autorisé à soutenir une nouvelle version de son travail, soit en « présentiel », soit en visioconférence, dans le mois qui suit la date de sa première soutenance. En cas de validation du mémoire revu et corrigé, l’étudiant obtient le Master en Développement mais sans attribution de mention.
Les seules absences autorisées sont celles pour raisons médicales graves justifiées par un certificat médical ou sur autorisation spéciale du coordonnateur pédagogique. Dans ce cas, il sera procédé une évaluation de rattrapage de la matière dispensée lors de l’absence.