L’UGB a abrité un atelier national d’élaboration de la stratégie et des plans d’action pour contribuer davantage à relever le défi sociétal et la gouvernance dans le cas de l’aliment au Sénégal
Le mercredi 17 Octobre 2018 s’est tenue la cérémonie d’ouverture de l’atelier national d’élaboration de la stratégie et plans d’action pour contribuer davantage à relever le défi sociétal et la gouvernance dans le cas de l’aliment au Sénégal au Centre de Recherche et de Documentation du Sénégal (CRDS). Elle a été présidée par le Recteur le Professeur Ousmane THIARE. Cet atelier qui a eu lieu du 17 au 19 octobre 2018 entre dans le cadre du projet « Défis sociétaux et gouvernance des Universités Africaines (DAfrAli) : le cas des aliments au Congo (Kinshasa), au Maroc et au Sénégal ».
Présentant le projet, le Docteur Michel Bakar DIOP, Coordonnateur du DAfrAli et par ailleurs Enseignant-chercheur à l’UFR des Sciences Agronomiques, d’Aquaculture et de Technologies Alimentaires (UFR S2ATA), a rappelé que le programme ERAMUS+ de l’Union Européenne soutient le renforcement des capacités dans le domaine de l’enseignement supérieur. Le projet DAfrAli, a-t-il soutenu, « est un des projets communs de ce programme qui vise principalement à renforcer les capacités des universités partenaires, à mobiliser leurs ressources de formation et de recherche pour résoudre des défis sociétaux majeurs de sureté et de sécurité alimentaires ».
La représentante de l’Union Européenne a magnifié le projet et le partenariat entre l’Université Gaston Berger de Saint-Louis, l’Université Cheikh Anta Diop de Dakar et l’Union Européenne.
Le Recteur, le Professeur Ousmane THIARE, a souligné que la participation des deux universités sénégalaises dans l’élaboration et la mise en œuvre du projet), « témoigne de l’engagement des institutions locales pour le développement des sciences, technologies et innovations susceptibles d’impulser les transformations requises dans les secteurs agricoles et industriels pour une situation alimentaire et nutritionnelle plus reluisante et une croissance économique plus soutenue et durable ». Il a aussi ajouté que le projet « contribue au renforcement du service des universités aux entreprises et aux organisations, mais qu’il permet aussi à l’UCAD et à l’UGB de contribuer davantage à relever le défi sociétal et la gouvernance de l’aliment au Sénégal ». Il a enfin invité les Etablissements d’Enseignement Supérieur, les centres de recherche ou services techniques, « à apporter une contribution significative à la stratégie susceptible de permettre à nos universités de renforcer sa contribution aux solutions adéquates et durables, aux défis sociétaux majeurs de l’alimentation, de la nutrition et de la commercialisation des produits agricoles transformés dans notre pays ».